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Lettre à mes amis Témoins de Jéhovah
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Je vous appelle amis parce que depuis plusieurs années j’ai rencontré un certain nombre d’entre vous. Nous avons parlé ensemble, et j’ai lié amitié avec plusieurs. Lorsque l’on a entrepris des persécutions fiscales contre vous, je les ai désapprouvées.
Je prie très souvent, plusieurs fois par jour non seulement pour les Témoins que j’ai rencontrés, mais aussi pour vous tous.
Je demande à Dieu de vous bénir.
J’admire votre désir de pureté morale. Et quand je vous vois marcher deux à deux au long des chemins clairs pour rencontrer des personnes, je trouve magnifique votre zèle pour faire
connaître ce qui vous touche dans la doctrine du salut.
Ce qui nous rapproche, c’est le nom de « Témoins » : vous vous dites « Témoins de Jéhovah », je me dis « témoin de Jésus Christ ». J’ai pris au sérieux cette parole de Jésus : « Vous serez
mes témoins, dans toute la Judée et la Samarie, et jusqu’aux extrémités de la terre . » Il m’a été donné d’aller jusqu’en Sibérie, en Australie, au Chili et dans beaucoup d’autres pays
pour faire mieux connaître l’Évangile de Jésus Christ.
C’est ainsi que vous êtes des Jéhovistes, parce que vous voulez faire connaître Jéhovah, ou plutôt Yahvé, et que je suis un Chrétien car je veux faire connaître le Christ : Je suis disciple
de Jésus Christ, en un mot un Catholique. Le fondateur des Catholiques, c’est Jésus de Nazareth, dans les années 28-33 environ. Mais on ne connaît les Témoins de Jéhovah et leur
fondateur monsieur Russel que depuis 1870. Et ensuite ses disciples, notamment monsieur Rutherford. Le Catholicisme existe donc depuis mille neuf cent quatre-vingt ans, et le Jéhovisme depuis cent quarante-six ans.
Le Catholicisme a commencé avec les apôtres à qui Jésus a confié la mission de faire connaître à tous les hommes le salut de Dieu. Jésus a promis à ses apôtres qu’il les assisterait en leur envoyant l’Esprit Saint « Il vous conduira à la vérité toute entière2 ». Jésus a chargé l’apôtre Pierre de conduire l’assemblée (ecclesia, en grec) de ses disciples : l’Église. « Tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon église, et les portes de l’enfer ne tiendront pas contre elle. Je te donnerai les clefs du Royaume des Cieux : quoi que tu lies sur la terre sera tenu dans les cieux pour lié, et quoi que tu délies sur la terre sera tenu dans les cieux pour délié . »
Il est intéressant de noter que Pierre s’appelait Simon, fils de Jonas. Jésus lui donne à ce moment un nouveau nom, un nom très significatif, Pierre, en grec Cephas. Car l’Évangile est écrit en grec : cephas veut dire une pierre. Ainsi ils sont trois dont Dieu change le nom : Abram, le père des croyants, que Dieu change en Abraham, pour marquer l’importance de sa mission, Jacob, à qui Dieu donne le nom nouveau d’Israël, et Simon dont Jésus Christ change le nom en Pierre pour marquer le caractère exceptionnel de leur mission : Abraham, père des croyants ; Israël, père du peuple élu ; Pierre, père des Catholiques.
Quant à monsieur Russel, votre père dans la foi, Jésus ne lui a rien dit, aussi il a gardé son nom, Charles Taze Russel.
Depuis Pierre jusqu’à nos jours c’est une suite ininterrompue de ses successeurs dans la mission de chef des apôtres – et de leurs successeurs les évêques. Cela aucun historien ne le
conteste. C’est ce que l’on appelle la succession apostolique.
La Bible
Je parlerai maintenant des Témoins de Jéhovah et de la Bible. Pour vous la Bible est très importante. Et vous travaillez pour essayer de la comprendre. Vous vous en faites gloire, et
vous croyez être les seuls. Là je pense que vous nous connaissez mal : nous les Catholiques nous lisons à l’Église, aux messes du dimanche, tous les Évangiles en 4 ans. Et aussi un nombre considérable de textes de l’Ancien Testament, la Genèse, le Pentateuque, les prophètes, les psaumes, les livres historiques, les livres de sagesse comme les Proverbes, l’Ecclésiaste, l’Ecclésiastique, la Sagesse de Salomon. Dans le Nouveau Testament, nous lisons à la messe non seulement les 4 Évangiles, un par année, mais encore les Épîtres de saint Paul, et des saints Pierre, Jean, Jacques, Jude, les Actes des Apôtres. Pour ceux d’entre nous qui vont à la messe en semaine cela fait une quantité encore plus considérable. Ces textes sont expliqués par les prêtres et beaucoup d’entre nous suivent des cours de Bible, certains de grec, et même d’Hébreu. Bien sûr nous avons encore recours à la Parole de Dieu dans notre prière personnelle.
Mais comment savez-vous que la Bible c’est la Bible ?
Je vous pose cette question : « Comment savez-vous que la Bible c’est la Bible ? Qui vous a dit que ces livres-là sont la Bible ? Quelle autorité sûre vous permet de savoir que tel livre
plutôt que tel autre fait partie de la Bible ? Monsieur Russel ? Le Collège Central qui dirige les Témoins de Jéhovah ? Non. C’est l’Église, c’est-à-dire les Catholiques qui vous ont permis de savoir quels écrits pouvaient être considérés comme la Parole de Dieu, qu’ils étaient « inspirés » par l’Esprit Saint pour nous faire connaître ce que Dieu veut nous dire. Cette liste de livres constitue la Bible.
C’est l’Église catholique qui depuis presque 2 000 ans a conservé et reconnu les livres de l’Ancien Testament auxquels Jésus lui-même et ses apôtres se référaient. Et c’est l’Église
catholique qui a certifié qui a établi la liste des 4 Évangiles, les Actes des Apôtres, les Épîtres, l’Apocalypse, ce qu’on appelle le Nouveau Testament. Dans la seconde Épître de Pierre nous
voyons déjà qu’il recommande les Épîtres de Paul . Cette liste a été fixée définitivement par un Concile catholique, le Concile de Carthage en 397. Sans cette certification de l’Église, personne ne pourrait dire ce qui est la Bible et ce qui ne l’est pas.
Remerciez les Catholiques d’avoir donné la Bible à Charles Taze Russel en 1870, et à vous aujourd’hui.
Il est vrai que vous en avez coupé de sérieux morceaux. À la suite de certains Protestants, vos chefs ont supprimé de la Bible le livre de l’Ecclésiastique, ou Siracide, le Livre de la Sagesse, les 2 livres des Maccabées, des parties de Daniel, et cetera. L’Église catholique a conservé pieusement ces livres de l’Ancien Testament, tandis que les Juifs, environ 90 ans après
la naissance de Jésus, les ont exclus : probablement les ont-ils trouvés trop proches du Christianisme.
Mais pourquoi, et par quelle autorité, monsieur Russel, et vous après lui, pourriez-vous définir une autre liste des livres inspirés en effaçant de la Bible des morceaux entiers de la Parole de Dieu transmise depuis des siècles par l’Église ? L’Église du Christ, reconnaît Luther, a reçu de Dieu le privilège de discerner sans le moindre risque d’erreur ce qui est parole de Dieu et ce qui est parole humaine ; elle ne peut se tromper quand elle a fait
le tri il y a des siècles entre les écrits vraiment inspirés et les autres. Depuis les siècles des débuts de l’Église cette liste de livres, qu’on appelle « le canon des écritures », n’a pas changé.
N’est-il pas dommage que monsieur Russel à partir de 1870 en ait éliminé certains ? Vous êtes ainsi privés d’un certain nombre des plus beaux passages de la Bible par lesquels Dieu a voulu nous éclairer.
Ainsi par exemple on ne trouve pas dans votre Traduction du Monde Nouveau, « votre Bible », ce passage de la Sagesse : « Oui Dieu a créé l’homme pour l’incorruptibilité, il en a fait
une image de sa propre nature ; c’est par l’envie du diable que la mort est entrée dans le monde. » (Sagesse 2, 23). Et tout le livre de La Sagesse vous a été supprimé !
La Bible que vous utilisez est trop courte, mais ce qui reste est-il vrai ?
Ce que dit la Bible en vérité
Votre catéchisme est intitulé : « Ce qu’enseigne réellement la Bible ». On pourrait poser la question : « Ce que dit en vérité la Bible ». Car il semble que la Traduction du Monde Nouveau a parfois des écarts avec le texte grec dans lesquels les Évangiles ont été écrits, et ces écarts risquent d’éloigner de la vérité. Par exemple plusieurs passages du Nouveau Testament montrent la divinité de Jésus Christ. Mais dans la Bible « Traduction du
monde nouveau », votre Bible, ces passages sont affaiblis : Ainsi dans toute vraie Bible il est écrit au début de l’Évangile de Jean : « Au commencement était la Parole (ou le Verbe), la Parole était auprès de Dieu, et la Parole était Dieu (Jean 1, 1) ». Mais dans votre Bible il est écrit : « … et la Parole était dieu ». On vous a mis un petit d pour pouvoir dire ensuite
que Jésus Christ n’est pas vrai Dieu, mais une dégradation de Dieu.
Or les manuscrits qui nous donnent le texte original de cet Évangile de Jean ont été écrits en grec. Ils sont de deux sortes :
1° les manuscrits écrits tout entiers en capitales grecques, qu’on appelle onciales ;
2° les manuscrits écrits tout entiers en minuscules.
Ainsi il n’y a aucune différence de D dans les manuscrits en onciales entre LA PAROLE ÉTAIT AUPRES DE DIEU et LA PAROLE ÉTAIT DIEU. De même dans les manuscrits en minuscules, il n’y a pas de différence de d entre la parole était auprès de dieu et la parole était dieu. Aussi si dans une traduction française on met une majuscule à auprès de Dieu, il faut la mettre aussi à était Dieu.
La Traduction du Monde Nouveau donne à entendre que la Parole est un « dieu » dégradé. Est-ce qu’on peut imaginer que le fils d’un homme soit un homme dégradé, par exemple un
singe ? De même le Fils de Dieu pour vous ne serait qu’un petit dieu.
Étrange paternité, étrange filiation !
Vous êtes encore victimes d’un traduction défaillante en Tite 2, 13, où vos maîtres ont écrit « tandis que nous attendons l’heureuse espérance et la manifestation glorieuse du grand
Dieu et du Sauveur de [nos personnes], Christ Jésus qui …(Traduction Monde Nouveau) » – alors que dans la vraie Bible on lit : « attendant la bienheureuse espérance et l’apparition de
la gloire de notre grand Dieu et Sauveur le Christ Jésus. » Pour maintenir le dogme d’un « Jésus petit dieu », on dirait que vos maîtres ont corrigé saint Paul pour lui faire dire ici le contraire de ce qu’il a dit.
Et c’est encore la même chose encore dans l’Épître de Paul aux Colossiens, chapitre 2, versets 8-9 : « Prenez garde qu’il ne se trouve quelqu’un pour vous réduire en esclavage par le vain leurre de la philosophie ; selon une tradition toute humaine, selon les éléments du monde, et non selon le Christ, car en lui habite corporellement toute la plénitude de la Divinité. » Et vos
maîtres corrigent saint Paul en écrivant : « car c’est en lui que toute la plénitude de la qualité divine habite corporellement. »
L’apôtre Thomas n’aurait pas pu être Témoin de Jéhovah
« Thomas, l’un des douze … n’était pas avec eux quand Jésus était venu. Les autres disciples lui dirent donc : ‘Nous avons vu le Seigneur !’ Mais il leur dit : ‘Si je ne vois pas dans
ses mains la marque des clous, si je ne mets pas mon doigt dans la marque des clous, et si je ne mets pas la main dans son côté, je ne croirai pas’. Huit jours après, ses disciples étaient de nouveau à l’intérieur et Thomas avec eux, Jésus vient, les portes étant closes, et il se tint au milieu d’eux et dit : ‘Paix à vous’.
Puis il dit à Thomas : ‘Porte ton doigt ici : voici mes mains ; avance ta main et mets la dans mon côté, et ne deviens pas incrédule mais croyant’. Thomas lui répondit : ‘Mon Seigneur et mon Dieu !’ »5 Donc pour Thomas, Jésus est Dieu (avec un grand D). Il ne peut être Témoin de Jéhovah puisqu’il croit que le Fils est vraiment Dieu.
La traduction du Monde Nouveau réécrit la Cène
Une autre correction de vos maîtres qui fausse l’Évangile, se trouve en Matthieu 26, 26. La vraie Bible dit : « Or tandis qu’ils mangeaient, Jésus prit du pain, le bénit, le rompit et le
donna aux disciples en disant : ‘Prenez, mangez, ceci est mon corps’ puis prenant une coupe, il rendit grâces et la leur donna en disant ‘Buvez-en tous car ceci est mon sang, le sang de
l’alliance qui va être répandu pour une multitude en rémission des péchés’. » Mais votre Bible dit : « Jésus prit un pain et après avoir dit une bénédiction, il le rompit et le donnant aux
disciples, il dit : « ceci représente mon corps ». Et pour la coupe « ceci représente mon sang ». Ainsi cette traduction remplace la réalité du don de Jésus de son corps et de son sang par une simple représentation théorique.
Ne soyez donc pas comme ces disciples qui après la multiplication des pains et le discours de Jésus sur le pain de vie ne veulent plus croire. Jésus leur a dit : « Je suis le pain vivant,
descendu du ciel, qui mangera ce pain vivra à jamais, et même le pain que je donnerai, c’est ma chair pour la vie du monde. » « Les Juifs se mirent à discuter fort entre eux ; ils disaient « Comment celui-là peut-il nous donner sa chair à manger ? » Alors Jésus dit « En vérité, en vérité, je vous le dis, si vous ne mangez la chair du Fils de l’Homme et ne buvez son sang,
vous n’aurez pas la vie en vous. Qui mange ma chair et boit mon sang a la vie éternelle et je le ressusciterai au dernier jour. » (Jean 6, 33-36).
« Après l’avoir entendu, beaucoup de ses disciples dirent : « Elle est dure cette parole, qui peut l’écouter ? » (Jean 6, 60)….« Dès lors beaucoup de ses disciples se retirèrent, et ils n’allaient plus avec lui. » (Jean 6, 66).
Je pose cette question : Vos maîtres ont-ils maladroitement fait une erreur de traduction en écrivant « ceci représente mon corps … représente mon sang » au lieu de « ceci est mon corps… ceci est mon sang » ? Ou bien comme les disciples qui quittent Jésus pensent-ils que « Cette parole est trop dure, qui peut l’écouter ? »
Pour connaître la Bible en vérité, il est donc nécessaire d’avoir une vraie Bible et non pas une Bible incomplète et contenant des erreurs.
Êtes-vous des Chrétiens ou bien des Mikaëlites ?
Les Catholiques sont des Chrétiens parce qu’ils sont des disciples de Jésus Christ. Mais vous, chers amis Témoins de Jéhovah, n’êtes-vous pas des Mikaëlites ? Puisque, selon votre
catéchisme, Jésus en fait n’est que « l’archange Mikaël »? (Qu’enseigne réellement la Bible, page 218). Si vous êtes disciples de Mikaël, alors vous êtes des Mikaëlites. Et vous ne croyez
pas à la Parole de Dieu qui, dans l’Épître aux Hébreux, dit : « Auquel des anges en effet Dieu a-t-il jamais dit : ‘Tu es mon Fils, moi aujourd’hui je t’ai engendré ?’ » Et encore « Je
serai pour lui un père, et lui sera pour moi un fils », et de nouveau lorsqu’il introduit le Premier Né dans le monde, il dit « Que tous les anges l’adorent ». (Hébreux 1, 5-6).
Mais vos maîtres ont vu que cette parole de Dieu contredisait formellement leur histoire de Mikaël. Ils étaient très gênés que leur archange Mikaël puisse être obligé d’adorer le
Fils. Aussi ont-ils arrangé le texte de la Parole de Dieu et ont écrit pour vous : « Et que tous les anges de Dieu lui rendent hommage ».
Comment croire sérieusement que Jésus Christ est un ange ?
Comment croire qu’il s’appelle non pas Jésus mais « Mikaël », alors que pas une fois dans les Évangiles Jésus Christ n’a expliqué ça à ses apôtres ? Il n’aurait rien dit à ceux qu’il envoyait
jusqu’aux extrémités du monde faire des disciples, et les « baptiser au nom du Père, et du Fils, et du Saint Esprit. » (Matthieu ch. 28, v. 19) Si vos maîtres avaient raison, Jésus aurait dû dire :« Baptisez les au nom du Père, de Mikaël et du Saint Esprit » …
Au nom du Père, et du Fils, et de l’Esprit Saint
Un jour nous nous quittions avec un Témoin de Jéhovah avec lequel j’avais de temps en temps des conversations amicales sur la Parole de Dieu. Saint Paul nous recommande :« Bénissez, ne maudissez pas ». Me souvenant de cette parole, je dis à mon ami Témoin de Jéhovah et à son compagnon : « Que Le Bon Dieu vous bénisse, Père, le Fils et l’Esprit Saint. » Et bien cet homme entra dans une grande colère ! Pourquoi ? Parce que, comme je l’appris, vous faites la guerre à « la Trinité », vous dites que ce n’est pas dans la Bible. Vous tentez d’impressionner avec ça des gens peu instruits.
Mais je lis dans l’Évangile de Matthieu, au chapitre 28, versets 18-19 : « Tout pouvoir m’a été donné au ciel et sur la terre.
Allez donc de toutes les nations faites des disciples, les baptisant au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit. »
Dieu aurait-il oublié les hommes pendant 1 840 ans ?
Si l’on croit, comme vous le faites, que l’on n’a pas compris vraiment l’Évangile avant M. Russel et les Témoins de Jéhovah, on risque de mettre en doute la bonté de Dieu : Dans
un premier temps Dieu aurait envoyé son Fils, Jésus Christ, pour nous sauver et nous donner le chemin du salut selon la parole « Je suis le chemin, la vérité et la vie ». Mais aussitôt
après la mort des apôtres, les Chrétiens se seraient complètement perdus, n’auraient plus rien compris de l’Évangile. Dieu malgré sa bonté aurait laissé pendant des siècles et des siècles les
hommes se fourvoyer sans rien faire pour les remettre sur le bon chemin ?
Mais, toujours selon vos maîtres, Dieu se réveille enfin en 1870, et révèle à M. Russel le vrai sens de l’Évangile. Depuis 1870 seulement nous pouvons comprendre l’Évangile. Pourtant« Dieu veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la vérité » dit Paul dans 1 Timothée 2, 4. Mais, selon vous, à Dieu ça lui était égal que les hommes ne comprennent rien de sa Parole pendant plus de 18 siècles ?
Prier pour connaître la Vérité
Si vous aimez la Vérité, si vous croyez Jésus quand il dit « Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie » (Jean 14, 6) pourquoi ne pas prier pour connaître la Vérité, et la connaître de plus en
plus ?
Jésus a dit : « Quand il viendra, lui, l’Esprit de vérité, il vous introduira dans la vérité toute entière. » (Jean 16, 13). C’est ce que je demande pour vous dans ma prière, et voulez-vous
faire de même pour Moi ?
Hervé Marie Catta
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